LA CORIMA
De retour d'un stage de vélo pendant une semaine à Rosas, en Espagne, je fais halte à Montélimar pour participer à la Corima. Dimanche matin, le beau soleil qui resplendissait encore la veille a disparu.
C'est sous un ciel menaçant que je prends place dans le sas des prioritaires. Quelques minuscules gouttelettes commençant à tomber cinq minutes avant le départ, je décide d'enfiler l'imperméable que j'ai dans dans la poche.
Après quatre kilomètres de neutralisation, les fauves sont lâchés. Le col de la Citelle est avalé à vive allure. Au sommet, je suis dans le 2ème paquet qui recolle à celui de tête après la descente. Jusqu'à la séparation des petit et grand circuits, située au pied du col de Valouise, le peloton roule tranquillement. Je ne regrette pas d'avoir gardé mon imperméable car la pluie commence à tomber sérieusement. Elle sera notre compagnon de route jusqu'à l'arrivée.
Comme dans le 1er col, je me retrouve dans le second groupe et ce, jusqu'à l'arrivée. Celui-ci perd quelques unités au gré des autres difficultés du parcours. Mais les trente derniers kilomètres sans difficulté, permettent le regroupement d'une bonne trentaine de coureurs qui arrivent au sprint pour la 22èmeplace.
Pour ma part, je termine 36ème au général et 5ème dans ma catégorie.
Quelques données chiffrées :
Distance : 137 km – dénivelé 1598 m – vitesse moyenne 35 km/h
Pulsations : Max 163 / Moyenne 132 – cadence moyenne 84 tours/min
Prochaine épreuve, la Bisou, le 3 avril
Au départ
A l'arrivée